LesEtats-Unis enregistrent une vague de dĂ©missions sans prĂ©cĂ©dent depuis l’étĂ© 2021. Et des signaux similaires, quoique de moindre intensitĂ©, apparaissent dans l’Hexagone MaPetite Chaise, c’est d’abord l’histoire de Marie, maman de quatre enfants et crĂ©atrice de la marque. L’aventure dĂ©bute lorsqu’elle s’installe Ă  Nantes en 2013 et qu’elle cherche des chaises pratiques pour ses enfants, mais surtout jolies, qui s’intĂšgrent parfaitement Ă  sa dĂ©coration. Ne trouvant pas son bonheur sur VNR(Valeurs Nutritionnelles de RĂ©fĂ©rence) VNR Ă©tabli par le rĂšglement (UE) 1169/2011 du 25 Octobre 2011. †† Les VNR cette fois ne sont pas Ă©tablis. Easy Cleanse Âź A.M correspond Ă  2 veg caps par service et 4 veg caps par dose quotidienne. Toutsimplement car le train est un moyen de transport : rapide, accessible, pas cher; et surtout responsable de l'environnement ! Avec un trajet de 200km en train plutĂŽt qu'en voiture personnelle par exemple, votre empreinte carbone personnelle, rĂ©duit Ă©normĂ©ment ! Voici les quantitĂ©s de CO2 Ă©mises par type de transport : en TGV, 346g de CO2. En train IntercitĂ©s, 1.1kg de CO2. En Vousl’avez vue, elle est en train de se prĂ©parer, Sibeth Ndiaye. Elle Ă©tait dans son bureau, peut-ĂȘtre pas tout Ă  fait consciente qu’elle Ă©tait filmĂ©e comme vous avez pu le voir».Sur les rĂ©seaux sociaux, certains internautes ont raillĂ© l’attitude de la porte-parole du gouvernement : « Uncertificat SSL est un fichier de donnĂ©es qui lie une clĂ© cryptographique aux informations d'une organisation ou d'un individu. InstallĂ© sur un serveur, le certificat active le cadenas et le protocole « https » (via le port 443) dans les navigateurs, afin d'assurer une connexion sĂ©curisĂ©e entre le serveur web et le navigateur. En ComitĂ©de lecture ADO – juin 2022 ~ ComitĂ© de lecture Ado ~ 28 juin 2022 Le Bonheur est coincĂ© dans la tĂȘte de Susie Morgenstern Il y a des matins comme ça, oĂč rien ne va. Pas envie de se lever. Pas envie de se laver. Pas envie de s'habiller. Pas envie de manger. Pas envie de se dĂ©pĂȘcher. Pas envie de marcher. Pas envie de travailler Cefut un souvenir inoubliable car c'Ă©tait un moment unique dans la vie d'un garçon de 12 ans. Ce projet Ă©tait enrichissant sur le plan humain car il a permis de dĂ©passer mes peurs et mes apprĂ©hensions car tous les Ă©lĂšves Ă©taient dans le mĂȘme cas que moi. Les chansons me sont immĂ©diatement revenues Ă  l'esprit lorsque j'ai visionnĂ© la vidĂ©o. Bravo Ă  vous pour cette Jecherche un tutorial sur CD sous la forme d'un vidĂ©o pas Ă  pas afin d'apprendre les Ă©lĂ©ments de bases de Windows ainsi que la navigation sur le Web avec un navigateur quelqu'onque. Ce n'est pas pour moi, c'est Le18 juin 1788, j'ai baptisĂ© Louis JĂ©rĂŽme Frappier (de MontbenoĂźt) (sosa biologique 384), nĂ© la veille; fils naturel et lĂ©gitime de Sieur Jean Pierre Frappier de MontbenoĂźt (sosa biologique 768) chirurgien major pour le Roi, et de Marie Anne GeneviĂšve Bardinon (sosa biologique 769).; A Ă©tĂ© parrain Jacques Henry Frappier (de MontbenoĂźt) et marraine Marguerite Apolline Bardinon YpovJ. NĂ©e en 1913 dans la commune de Camburat Lot, et dĂ©cĂ©dĂ©e en 2012, Édith Battut a choisi la formation de surintendante par curiositĂ© intellectuelle et volontĂ© de jouer un rĂŽle actif dans une sociĂ©tĂ© qui offrait peu de perspectives aux femmes. Un an aprĂšs sa sortie de l’école des Surintendantes Paris, un poste lui est proposĂ© Ă  St Brieuc pour structurer un service social initiĂ© par le jeune PĂšre Lebret, dominicain. CĂ©libataire, elle fera l’ensemble de sa carriĂšre auprĂšs de cette population maritime, dĂ©veloppant le service social maritime, service social polyvalent de catĂ©gorie, crĂ©ant un ensemble de services collectifs, sur le territoire français et d’outre mer, puis, dans les annĂ©es 1970, accompagnant ses mutations. NĂ©e en 1913 dans une famille de la petite bourgeoisie du Lot, Édith Battut comme ses frĂšres et sƓurs fait des Ă©tudes secondaires, et se trouve confrontĂ©e au faible choix offert alors aux femmes en matiĂšre d’orientation. S’étant rapprochĂ©e du ministĂšre de la santĂ©, elle prend connaissance de la formation proposĂ©e par l’école des Surintendantes Paris dont les objectifs une vie active avec des responsabilitĂ©s au service de l’humanitĂ© » et le programme l’attire. Elle s’y s’inscrit en 1934, simplement armĂ©e de son baccalaurĂ©at. Accueille par J. Sivadon au sein d’une promotion de 35 Ă©lĂšves, elle doit prĂ©parer en parallĂšle son diplĂŽme de la Croix Rouge et manifeste un intĂ©rĂȘt notamment pour les cours de psychiatrie et d’économie politique. Elle apprĂ©cie l’ouverture intellectuelle de l’école oĂč elle entend parler des mouvements de pensĂ©e contemporaine avec les cours d’un pĂšre jĂ©suite ou d’un syndicaliste de la CGT. A la sortie de l’école elle adhĂšre Ă  l’association des anciennes. À sa sortie, elle participe Ă  une Ă©tude sur la sous-alimentation des enfants, puis travaille Ă  mi-temps au service d’entr’aide du 5e arrondissement de Paris, mais ce poste l’intĂ©resse peu. En juin 1937, Jeanne Sivadon, directrice de l’Ecole des Surintendantes, lui propose un poste Ă  Saint-Brieuc il s’agit faire fonctionner, pour le dĂ©partement des CĂŽtes du nord, un bureau d’embarquement de marins et de crĂ©er un service social pour cette population dont l’initiative revient au pĂšre Lebret, jeune dominicain breton, futur fondateur 1942 du centre d’études Economie et humanisme », puis de la revue du mĂȘme nom. Elle part s’installer Ă  St Brieuc en septembre 37, loge dans un hĂŽtel, effectue divers stages Ă  St Malo et au Havre la Compagnie gĂ©nĂ©rale Transatlantique est alors la seule compagnie Ă  avoir un service social, et dans le seul port du Havre. On lui met Ă  disposition un bureau. À la fin de sa premiĂšre annĂ©e, elle achĂšte un vĂ©hicule et recrute une secrĂ©taire. Elle dĂ©clare alors gagner 1 200 francs par mois en 1937, le salaire d’un ouvrier parisien est estimĂ© Ă  2 000 francs. Dans son premier rapport d’activitĂ©, elle dĂ©crit la population maritime Ă©valuĂ©e Ă  54 000 marins le marin et sa famille, les spĂ©cificitĂ©s de leur mode de vie du marin, procĂšde Ă  une revue des Compagnies de navigation ou SociĂ©tĂ©s d’armement dans les diffĂ©rents ports de France. Elle alerte sur la protection sociale des gens de mer depuis Colbert ils bĂ©nĂ©ficient d’un rĂ©gime spĂ©cifique avec 2 caisses caisse gĂ©nĂ©rale de prĂ©voyance et caisses de retraite, leur Ăąge de dĂ©part en retraite est alors de 55 ans. Ils bĂ©nĂ©ficient d’une Caisse de compensation allocations familiales créée par les armateurs, dont le siĂšge est Ă  Paris. Mais dans ce rapport, elle traite aussi des organismes professionnels comitĂ© central des armateurs et CGT et des institutions d’aide il n’existe alors pas de service social ni de fonds de secours Ă  part le service social de la compagnie transatlantique du Havre et quelques rares foyers d’hĂ©bergement, sortes d’asile de nuit Le Havre, Bordeaux
. Elle conclut son rapport sur la nĂ©cessitĂ© de crĂ©er un service spĂ©cialisĂ©, compte tenu des particularismes de la profession de marin, de son isolement, avec ses rĂ©percussions sur la vie familiale et la nĂ©cessitĂ© de crĂ©er un rĂ©seau de services liĂ© Ă  l’implantation des ports. En juin 1938, elle rĂ©dige son mĂ©moire de fin formation nourri de ce rapport d’activitĂ©, et s’entend dire par une de ses examinatrices qu’elle se fourvoyait et n’aboutirait pas. Affirmant ainsi un point de vue et dĂ©fendant un projet, elle a failli Ă©chouer, et dĂ©clare alors s’ĂȘtre sentie proche de la population avec laquelle elle travaille tels nos marins nous nous sentions incomprise par les gens de terre ». C’est toutefois sur cette base qu’elle construira le service social maritime, sous forme associative, mettant ainsi en pratique sa toute rĂ©cente formation sur la loi 1901. L’objectif est Ă  la fois de mettre en place un service social dans le dĂ©partement et de faire fonctionner un Bureau d’embarquement, sorte de mĂ©diation entre les marins, les ports et les armateurs employeurs. Les employeurs prĂ©fĂšrent passer par de tels bureaux plutĂŽt que de recruter des marins trainant sur le port. En effet, les marins de commerce circulaient d’un port Ă  un autre pour trouver des embarquements. Son activitĂ© de jeune assistante sociale l’amĂšne Ă  se dĂ©placer pour des tournĂ©es, elle parcourt les localitĂ©s maritimes en train, Ă  pieds, elle circule en Bretagne, cherchant Ă  Ă©tablir un dialogue et Ă  mettre en confiance les familles pour leur prĂ©senter le rĂŽle du Bureau. Elle se rend aussi Ă  Paris, cherchant Ă  rencontrer directeur ou prĂ©sident de la compagnie, mais doit se contenter d’entrevues avec le chef du personnel naviguant
 Lors d’une de ces visites, elle rencontre les dirigeants du Journal de la Marine marchande, et Ă©crit un article pour la revue on notera que c’est le premier article d’une femme dans cette revue. Elle doit essuyer diverses critiques de la part du syndicat professionnel des pĂȘcheurs de St Malo qui lui reproche de piĂ©tiner sur ses plates-bandes, une trop grande ambition et une forme de prĂ©tention Ă  vouloir dĂ©fendre, en tant qu’assistante sociale, le principe de la neutralitĂ©. Sa condition de femme, et de femme cĂ©libataire, jouent en sa dĂ©faveur. De son cotĂ©, elle analyse ces critiques comme un signe de l’importance de ce service social naissant et continue de rĂ©flĂ©chir sur ces questions d’éthique qui lui tiennent Ă  cƓur. Édith Battut est nommĂ©e directrice du service qu’elle promeut, refusant de limiter son action Ă  une seule Ɠuvre sociale ». DĂšs 1940, un budget est stabilisĂ©, avec des crĂ©ations de postes Ă  Marseille, Dinard, Arcachon, Saint Nazaire. Avec le soutien du PrĂ©sident de l’Union Sociale Maritime USM, le principe est Ă©tabli d’une cotisation systĂ©matique et Ă©quitablement rĂ©partie entre les armateurs pour financer le service, via la Caisse de compensation. L’USM devient chargĂ©e du service social auprĂšs du personnel naviguant qui compte 54 000 marins et 8000 sĂ©dentaires auquel s’ajoutent 55 000 retraitĂ©s, avec la crĂ©ation du service social pour la pĂȘche industrielle. En 1941, l’USM devient le service social inter-entreprise des compagnies de navigation et se structure pour s’adapter aux besoins de la guerre et s’adresse Ă  74 400 pĂȘcheurs, 20 480 venant de la pĂȘche industrielle. L’annĂ©e 1941 voit la crĂ©ation de 20 postes d’assistantes sociales dont des postes outre-mer Oran et Alger. À cette date on compte au total 33 postes d’assistantes sociales. Le service est organisĂ© en territoires, les assistantes sociales rĂ©gionales sont rĂ©unies trimestriellement Ă  Paris, quand une rĂ©union gĂ©nĂ©rale » regroupe annuellement l’ensemble des assistantes sociales. Pendant toute cette pĂ©riode de guerre, E. Battut travaille sur la mĂ©thodologie d’intervention accompagnement individualisĂ©, travail de prĂ©vention, service social collectif, Ă©ducation mĂ©nagĂšre des cours d’enseignement mĂ©nager sont organisĂ©s pour les femmes Ă  Marseille et Arcachon dĂšs 1941, mise en place de consultations de nourrissons, orientations vers les colonies de vacances, actions d’orientation professionnelle des enfants de marin, recherche d’emploi, crĂ©ation d’un foyer dans un bateau Ă  quai Ă  Marseille, ouverture de bibliothĂšques. Des liens sont créés avec d’autres organismes comme l’ADOSM association pour le dĂ©veloppement des Ɠuvres sociales de la marine, ou l’EAM Ă©coles d’apprentissage maritime. La fin de la guerre voit l’intensification de l’activitĂ© dans les ports bombardĂ©s, avec des Ă©vacuations de populations, l’accueil de rĂ©fugiĂ©s etc. En particulier on peut souligner l’achat du chĂąteau d’Amboise pour accueillir des enfants victimes des bombardements. AprĂšs 1945, le service retrouve un fonctionnement pour un temps de paix. A partir de 1947 des Ă©tudes sont menĂ©es oĂč les assistantes sociales sont sollicitĂ©es sur des thĂšmes tels que les rĂ©percussions du mĂ©tier de marin dans la vie familiale, en 1949 une Ă©tude sur l’enfant normal d’ñge scolaire dans la population maritime et en 1951 une Ă©tude sur le logement, ensuite publiĂ©e dans la revue Informations sociales CNAF. En 1948 le service compte 65 assistantes sociales dont 6 rĂ©gionales, plus 16 secrĂ©taires. Auquel s’ajoutent 7 centres d’enseignement mĂ©nager, 31 consultations de nourrissons, 4 colonies de vacances, 13 garderies centres aĂ©rĂ©s, l’organisation de 22 arbres de NoĂ«l, et 1 bibliothĂšque circulante Ă  bord des navires dans chaque port. L’USM est Ă  la fois un service social d’entreprises et un service social familial. L’USM se dĂ©clarera service polyvalent de catĂ©gorie en 1950 loi 4 aout 1950 sur la coordination des services. En 1948 les Bureaux de compensation créés par les armateurs disparaissent, remplacĂ©s par la Caisse Nationale d’Allocations Familiales des Marins du Commerce CNAFMC, relevant du rĂ©gime gĂ©nĂ©ral. Édith Battut y siĂšge en tant que personne qualifiĂ©e. Par convention, le service social de la CNAFMC est assurĂ© par l’USM. Ainsi une unitĂ© d’action dans la profession maritime est assurĂ©e pour les 13 332 allocataires et 25 946 enfants. Les annĂ©es 1958-1962 sont des annĂ©es de transition avec un accroissement des demandes des Compagnies ; l’activitĂ© des assistantes sociales auprĂšs des comitĂ©s d’entreprise se dĂ©veloppe et l’USM assure le service social de l’ENIM Établissement national des invalides des marins du commerce, c’est Ă  dire le rĂ©gime spĂ©cifique de protection sociale des marins. E. Battut porte une attention Ă  la formation des assistantes sociales qui sont formĂ©es au case-work. Mais le contexte Ă©volue et l’USM doit se repositionner la scolaritĂ© obligatoire Ă©tant passĂ©e Ă  16 ans, les centres d’enseignement mĂ©nager doivent se reconvertir et Ă©voluent en Centre d’économie sociale et familiale. C’est le dĂ©but de la formation des monitrices et la prĂ©paration Ă  l’entrĂ©e en formation d’auxiliaire de puĂ©riculture. Les consultations de nourrissons sont progressivement supprimĂ©es. Au contraire l’activitĂ© des colonies de vacances se dĂ©veloppe. Dans cette pĂ©riode, les premiĂšres liaisons sur le plan international s’installent et en fĂ©vrier 1959 E. Battut participe Ă  la ConfĂ©rence internationale sur la santĂ© et le bien-ĂȘtre des gens de mer Ă  Marseille. La pĂ©riode 1963-1967 voit de grandes mutations dans la marine marchande liĂ©es notamment Ă  la disparition de l’empire colonial, Ă  la concurrence de l’aviation, Ă  la fermeture du canal de Suez, ce qui se traduit par des inquiĂ©tudes dans la profession, accroissant l’activitĂ© du service social malgrĂ© la diminution du personnel naviguant. Les services d’action sociale collective doivent s’adapter Ă  ce monde en transformation. Des postes d’assistantes sociales sont créés quand d’autres sont supprimĂ©s comme Ă  Alger. Le service compte 71 assistantes sociales mais en 1975, il n’en comptera plus que 58. AprĂšs 1968, E. Battut constate un processus de dĂ©shumanisation du mĂ©tier de marin avec l’automatisation des navires, les fusions d’entreprises. De nouvelles problĂ©matiques apparaissent phĂ©nomĂšnes d’inadaptation, alcoolisme, maladies mentales. À partir de 1973, le partenariat se dĂ©veloppe et les rĂ©unions gĂ©nĂ©rales » rassemblements nationaux des assistantes sociales sont ouvertes des entreprises, administrations, syndicats, et reprĂ©sentants des usagers y sont invitĂ©s. En 1970, Édith Battut participe Ă  la ConfĂ©rence maritime du travail Ă  GenĂšve BIT, elle y reprĂ©sente le Conseil international de l’action sociale. Cette dĂ©cennie voit de nouvelles transformations des actions continuent de se dĂ©velopper et d’autres sont en rĂ©cession, ainsi de la diminution des colonies de vacances, la reconversion des centres mĂ©nagers, la suppression des consultations de nourrissons mais E. Battut impulse des dĂ©marches d’action collective, et tente un essai de service social communautaire. On note la crĂ©ation d’un centre social au Havre en 1973. C’est une Ăšre nouvelle surabondance des textes lĂ©gislatifs, complexitĂ© de leur application, augmentation des problĂšmes d’ordre psychologique dans la population. Toutefois, le service social de groupe destinĂ© aux femmes de marin se dĂ©veloppe et E. Battut participe Ă  la formation des futurs officiers aux relations humaines. Pendant sa retraite E. Battut suit les cours de l’Ecole du Louvre et de l’Institut catholique de Paris. ElevĂ©e au grade de Chevalier puis Officier de la LĂ©gion d’Honneur, elle dĂ©cĂšde en 2012 Ă  l’ñge de 99 ans, et est enterrĂ©e dans son village natal de Camburat. PUBLICATIONS Édith Battut, Marins des commerce », Pages sociales, n° 21, novembre 1946. SOURCE TĂ©moignage d’E. Battut ; Fonds Kniebiehler/ CEDIAS, Paris Nathalie Blanchard 9 dĂ©cembre 2008 2 09 /12 /dĂ©cembre /2008 2048 A chacun ses prĂ©paratifs de NoĂ«l En fin de semaine derniĂšre, c'est donc Apolline qui a profitĂ© des festivitĂ©s de NoĂ«l avec sa nounou Ann et les autres enfants de plusieurs "daycare". Ils ont pris le bus Ă  Orum pour Viborg oĂč ils ont passĂ© la matinĂ©e pas la premiĂšre fois pour Apolline, d'ailleurs. Au programme, balades Ă  travers les rues illuminĂ©es pour NoĂ«l et Ă  regarder les vitrines dĂ©corĂ©es. Le midi, ils sont allĂ©s manger Ă  la bibliothĂšque... lĂ -dessus, la France a des progrĂšs Ă  faire. Ici, les nounous font un tas d'activitĂ©s avec nos petits bouts et on leur en donne les moyens! L'occasion aussi pour Apolline de faire sa 1ere "photo de classe"! et oui 16 mois et dĂ©jĂ  une vie sociale! ... sans ses parents! Il semble que la petite puce ait beaucoup apprĂ©ciĂ© sa promenade et s'est endormie dans le bus pendant le trajet retour... tellement faitguĂ©e par toute cette activitĂ©! Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline 27 septembre 2008 6 27 /09 /septembre /2008 1235 ... maintenant elle confirme! AprĂšs la semaine d'hĂ©sitation, Apolline est bien dĂ©sormais trĂšs Ă  l'aise sur ses appuis! Regardez! Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline 18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 2109 Premiers pas en solo! AprĂšs plusieurs tentatives et avec beaucoup de prudence, Apolline s’est lĂąchĂ©e ! Ce matin, Ă  la salle de sport de Ørum alors qu’elle participait aux matinĂ©es d'Ă©veil musical avec son daycare, Apolline a fait ses premiers pas
 Ce soi, elle s’est aussi beaucoup amusĂ©e Ă  nous le montrer
 Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline 9 septembre 2008 2 09 /09 /septembre /2008 2140 et elle danse! Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline 9 septembre 2008 2 09 /09 /septembre /2008 2118 A l'aide de son grand-frĂšre Apolline qui prend plus d'assurance rĂ©ussit Ă  marcher Ă  l'aide de Titouan... elle rĂ©ussit aussi Ă  marcher sans aucune aide... mais je n'ai pas encre rĂ©ussi Ă  capter ces moments! DĂ©solĂ©e aussi pour le sens de la vidĂ©o... Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline 9 septembre 2008 2 09 /09 /septembre /2008 2043 On a trouvĂ©, merci Soso!!! Ca y est Apolline a trouvĂ© des chaussures Ă  la taille de ses petons
 du 18 ! Merci Ă  Soso pour cela ! Merci aussi Ă  vous pour le dernier accessoire cars » qui s’ajoute Ă  la fameuse collection de Titouan ! Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline 4 septembre 2008 4 04 /09 /septembre /2008 2122 ParĂ©e pour la pluie... AprĂšs la cotte de mailles de son papa, c'est au tour d'Apolline de se dĂ©guiser... Ă  la mode danoise! Maintenant qu'elle a l'Ăąge pour aller crapahuter dans le sable ou dans je ne sais quoi... Ann, sa nourrice m'a demandĂ© d'Ă©quiper notre nĂ©nette en consĂ©quence! Ainsi mĂȘme les jours humides, elle sera au sec! et dire qu'il y en a, est peu dire... rares sont les jours de soleil au DK!!! Nous lui avons donc trouvĂ© assez facilement une "condimaison" comme le dit si bien Titouan mĂȘme aprĂšs plusieurs moi d'apprentissage, cf article "Tenues adequat... " de pluie rose! Sur la photo, Apolline est en compagnie de Christian, prononcĂ© Christiane en danois!, de 3 mois son aĂźnĂ©. Par contre, lui trouver des chaussures, c'est dĂ©jĂ  plus difficile et pour l'heure impossible! Mademoiselle a le pied trop fin et trop court pour les chaussures danoises... Je lui ai donc trouvĂ© des sur-chaussures avec une semelle souple qui feront l'affaire d'ici que ses pieds grandissent! ouah!!!!! - D'ailleurs petit aparte, la voir ainsi dĂ©guisĂ©e rapelle Ă  sa maman de vieux souvenirs ... histoire de brouette, de BN, de cochon, un certain samedi de juin 2003...!!!!- Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline 13 aoĂ»t 2008 3 13 /08 /aoĂ»t /2008 1853 Pousse-pousse... AprĂšs les premiers pas avec appui, Apolline aime s'exercer Ă  la marche derriĂšre son pousseur qu'elle maitrise de mieux en mieux! Sur la photo, vous pourrez voir le beau landau qu'elle a eu...pour faire plaisir Ă  sa maman plus qu'Ă  elle, faut bien l'avouer... mais celĂ  aussi lui sert de pousseur! Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline 12 aoĂ»t 2008 2 12 /08 /aoĂ»t /2008 2133 Premiers pas...avec appui! Apolline s'exerce de plus en plus Ă  la marche; dĂ©sormais, elle passe d'un appui Ă  l'autre et parfois s'oublie et se tient debout seule... Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline 1 aoĂ»t 2008 5 01 /08 /aoĂ»t /2008 2209 1 an dĂ©jĂ ! Apolline a soufflĂ© sa premiĂšre bougie plusieurs fois afin de s’entrainer au jour J. C’est donc chez Papy et mami-IĂšle que Apolline a passĂ© le cap de la premiĂšre annĂ©e entourĂ©e aussi de Titou, Maureen et Chris. A chaque fois elle a Ă©tĂ© trĂšs gatĂ©e, vĂ©tements, bijoux, jouets, ... MERCI Ă  tous! Pour ses "1an", Apolline se dĂ©place aisĂ©ment Ă  4 pattes, se met debout facilement et essaie dĂšsqu'elle le peut de marcher... elle n'a toujours que 6 dents, fait beaucoup de areuhs et est trĂšs expressive avec ses mains... qu'elle utilise pour applaudir, dire aurevoir, montrer du doigt et mimer la chanson "nage, nage les petits poissons"... C’était aussi l’occasion pour Maureen de souffler ses 5 bougies 
 puisque nous ne serons pas lĂ  son jour J ! Ces vacances auront Ă©tĂ© pour toutes les deux l'occasion de passer beaucoup de temps ensemble... c'Ă©tait super ma puce! Published by LE BLEIZ FAMILY - dans Apolline Lors du premier test Sternglas, vous aviez dĂ©couvert la NAOS. Une montre minimaliste Ă©purĂ©e, soignĂ©e et surtout trĂšs rĂ©ussie. Le constructeur allemand a d’ailleurs sorti d’autres modĂšles depuis, notamment la Junis, et cette superbe Topograph. Non seulement c’est un modĂšle automatique, mais en plus de ça
 elle est vraiment, vraiment trĂšs belle. Alors que beaucoup de marques s’amusent Ă  faire du minimalisme une obsession du “quasi rien” en enlevant tous les dĂ©tails dĂ©coratifs, Sternglas fait le choix d’un minimalisme fonctionnel, en gardant tous les Ă©lĂ©ments constitutifs d’une bonne lisibilitĂ©. [Spoiler] Cette montre est une vraie rĂ©ussite, et ce test va vous le dĂ©montrer ! La marque Sternglas est un constructeur allemand nĂ© en 2016, et qui a vu sa capacitĂ© de production lancĂ©e grĂące Ă  une campagne Kickstarter qui a cartonnĂ©. La marque commercialise aujourd’hui pas mal de collections au nombre de 5 qui ont un point commun leur soin trĂšs particulier au niveau de la construction et du design. Et c’est en 2018 que Sternglas a lancĂ© sa Topograph, un modĂšle destinĂ© aux amateurs de joli design, et de prĂ©cision. Cette Topograph est donc une des derniĂšres collection de la marque, et s’illustre avec un boitier plus large que les autres gammes, et un aspect trĂšs “masculin”. En effet, avec son boitier de 42mm de diamĂštre et son look un peu “chargĂ©â€, cette montre s’adaptera mieux sur les poignets masculins que fĂ©minins. Comme toujours chacun ses goĂ»ts ! Si une dame veut une Topograph, ce n’est pas interdit 🙂 Elle est vendue Ă  379€ 329€ au moment de la rĂ©daction du test, et est alimentĂ©e par un mouvement automatique. Le boitier Comme dit en introduction, cette Topograph est un modĂšle plutĂŽt volumineux, avec un diamĂštre de 42mm pour une Ă©paisseur de 10mm. Elle est aussi assez lourde, avec un poids de 75 grammes. Elle confĂšre une bonne impression de soliditĂ© quand on l’a entre les mains, probablement grĂące au revĂȘtement entiĂšrement brossĂ© du boitier, et Ă  son poids. Cela ne fait pas pour autant d’elle une “grosse” montre, son design est assez dĂ©licat pour ne pas donner d’impression nĂ©gative. Sur la face avant, on ne perçoit qu’une trĂšs petite Ă©paisseur de boitier puisque le verre occupe une trĂšs grande surface. C’est d’ailleurs un verre en saphir bombĂ©, avec traitement anti-reflet. Les cotĂ©s du boitier sont droits, la dĂ©coupe cylindrique prend tout son charme quand on admire le profil de la montre. On trouve aussi la couronne de rĂ©glage sur le cĂŽtĂ© droit, Ă  3h. Cette couronne est suffisamment large pour ĂȘtre manipulĂ©e facilement, et est lisse. Effectivement, elle n’est pas gravĂ©e du logo Sternglas et ce n’est pas Ă©tonnant ! Leur logo est textuel, il s’agit du mot Sternglas Ă©crit avec leur propre police de texte. Du coup, en petit, ça rendrait moyennement ! Le dessous du boitier est lui-aussi brossĂ©, et une vitre transparente laisse entrevoir le mouvement automatique. On trouve aussi les inscriptions habituelles rĂ©fĂ©rence, Ă©tanchĂ©itĂ©. Le cadran La particularitĂ© de ce modĂšle, par rapport aux autres de la marque, est d’avoir un cadran plus chargĂ©. En effet, mĂȘme si la montre n’est pas du genre “surchargĂ©e”, son cadran rĂ©vĂšle pas mal de dĂ©corations, de dĂ©tails, et surtout un soin trĂšs prĂ©cis. Les ajustements sont excellents, aussi bien au niveau des peintures que des Ă©lĂ©ments collĂ©s sur le fond noir. On trouve par exemple une lunette inclinĂ©e sur toute la partie extĂ©rieure, qui indique les secondes avec des chiffres particuliĂšrement petits mais lisibles, mais aussi tous les indexes bĂątons rĂ©partis sur un mĂȘme cercle. La lecture de l’heure s’en trouve donc trĂšs facile, surtout que l’on a aussi des indexes numĂ©riques pour les heures, de 1 Ă  12. Vous l’avez remarquĂ©, un dateur prend place Ă  3h. Ce dateur est malheureusement blanc, j’aurais apprĂ©ciĂ© que son fond soit noir, pour limiter sa prĂ©sence visuelle. Le logo et les rĂ©fĂ©rences de la montre sont respectivement placĂ©es Ă  12h et 6h. La plus grande originalitĂ© de ce cadran ou tout du moins la partie que je prĂ©fĂšre, ce sont les aiguilles. En effet, les 3 aiguilles ont une base noire, qui permet presque de les confondre avec le fond. Puisque l’extrĂ©mitĂ© est blanche, on a une impression de flottement des aiguilles. Le rendu est vraiment trĂšs sĂ©duisant, et la lisibilitĂ© n’en est qu’amĂ©liorĂ©e. J’aurais aimĂ© une diffĂ©rence plus importante entre l’aiguille de la trotteuse et l’aiguille des minutes. On a donc un cadran dĂ©corĂ© de pas mal d’informations utiles, notamment beaucoup d’indexes pour une lecture de l’heure prĂ©cise. Viennent s’ajouter Ă  cela des aiguilles soignĂ©es et bien taillĂ©es, et le rĂ©sultat est proche de la perfection ! Le bracelet Cette Topograph est disponible en plusieurs dĂ©clinaisons de bracelets, soit en mĂ©tal mailles milanaises, soit en cuir. J’ai optĂ© pour la version cuir “Vintage mahogany”, qui est un cuir marron vieilli, qui va se patiner avec le temps. On observe une jolie texture Ă  sa surface, et des reflets bruns / dorĂ©s dans la profondeur du cuir. Au toucher, le cuir ne s’abime pas facilement, mais sa partie en surface est assez sensible aux traces d’ongles, ou aux gouttes d’eau. Ce n’est pas forcĂ©ment grave puisque la montre n’est pas destinĂ©e Ă  la plongĂ©e, mais attention si vous vous lavez les mains souvent, avec un peu trop d’entrain ! La largeur de 20mm de ce bracelet le rend plutĂŽt fin par rapport au boitier de 42mm, et sa souplesse est suffisante pour un ajustement sans difficultĂ©. La boucle ardillon est basique, avec un revĂȘtement poli et un logo gravĂ© en son centre. Niveau confort, le bracelet est parfait, mais le poids “consĂ©quent” de la montre fait qu’elle se fait ressentir assez rapidement. Encore une fois, ce n’est pas gĂȘnant, mais attention Ă  ne pas attraper de crampe Ă©videmment, c’est de l’humour. Le packaging La Sternglas Topograph est livrĂ©e dans une boite bicolore noire et taupe. C’est exactement le mĂȘme emballage que pour la Junis 34, adaptĂ© avec les documents relatifs Ă  ce modĂšle. C’est une boite plutĂŽt accueillante, aux dimensions compactes et Ă  l’aspect Ă©lĂ©gant, sans trop en faire. TrĂšs sincĂšrement, je prĂ©fĂšre un boite un peu basique Ă  un coffret en bois massif, qui ferait augmenter le coĂ»t global pour, au final, pas grand chose. Diverses mentions sont rĂ©parties sur la surface de la boite, et le tout avec un grand soin en terme d’impression. Et Ă  l’intĂ©rieur, la montre est repliĂ©e sur elle-mĂȘme, puis attachĂ©e avec deux petits Ă©lastiques. Le mĂ©canisme Cette Sternglas Topograph est une montre automatique, qui est alimentĂ©e par un mouvement de chez le japonais Miyota. C’est le calibre 821A qui a Ă©tĂ© choisi, probablement puisqu’il est reconnu comme fiable, robuste, et qu’il a une rĂ©serve de marche de 42 heures. Son dĂ©calage quotidien est plutĂŽt faible, avec +/- 20 Ă  40 secondes par jour. Il peut se remonter Ă  la couronne, ou, Ă©videmment, aux mouvements du poignet. Conclusion Cette Sternglas Topograph est une des montres que j’apprĂ©cie porter trĂšs souvent. Simplement parce qu’elle est trĂšs bien rĂ©alisĂ©e. Les assemblages sont parfaits, les finitions aussi, et son design est vraiment rĂ©ussi. Je trouve le rapport entre simplicitĂ© et fonctionnalitĂ© trĂšs juste, et, Ă  l’utilisation, c’est un rĂ©gal. Cette montre s’adresse aux poignets “larges” puisqu’elle mesure 42mm de diamĂštre. Il faut aussi avoir son poids en tĂȘte, puisqu’elle s’éloigne des montres minimalistes habituelles, souvent trĂšs lĂ©gĂšres. En bref, c’est une montre trĂšs rĂ©ussie, au look unique et intemporel je suppose qui est vendue Ă  un prix contenu de 379€.

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